Message d'erreur

  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3697 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3698 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Undefined offset: 4 in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in user_node_load() (line 3699 of /home/pharmaprnet/public_html/modules/user/user.module).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 10 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Undefined index: node in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 10 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Undefined index: node in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).
  • Notice: Trying to get property of non-object in include() (line 23 of /home/pharmaprnet/public_html/sites/all/themes/illusion/templates/node/node--article.tpl.php).

Taxonomy term

Le laboratoire Pfizer vient d’annoncer le retrait du Cytotec comprimé à partir du 1er mars 2018, produit indiqué dans l’ulcère et largement utilisé en gynécologie hors indications.

Ce mésusage est à l'origine de risques potentiellement graves pour la mère et l’enfant, comme la survenue de ruptures utérines, d’hémorragies ou d’anomalies du rythme cardiaque foetal.

Ce produit est détourné de son usage d’origine afin de déclencher un accouchement à partir de 37 semaines d’aménorrhées. La Haute Autorité de Santé rappelait en 2008 que « Son utilisation dans cette indication doit être réservée à des essais randomisés de puissance suffisante pour en évaluer le ratio bénéfice/risque, notamment les déchirures utérines ».

Selon Alain-Michel Ceretti, fondateur du Lien de défense des patients, cette décision est une  bonne nouvelle, mais l'affaire du Cytotec révèle la faiblesse de l'autorité de l'État en matière de sécurité sanitaire, un problème au centre des états généraux. L'Agence du médicament avait déjà mis en garde, en 2013, contre les risques graves pour la mère et l'enfant (rupture utérine, hémorragie...) de cet usage. « Il faut modifier la loi pour pouvoir interdire des pratiques identifiées comme dangereuses ».

Face à l’annonce de l’arrêt de commercialisation du Cytotec, l’ANSM a convenu avec les laboratoires commercialisant les médicaments contenant du misoprostol et prévus pour l’IVG médicamenteuse (Gymiso et Misoone) que ces derniers augmentent leur production. Une procédure accélérée est aussi en cours pour donner son AMM à un autre médicament, qui, par voie orale et à la dose correcte, pourra être utilisée pour le déclenchement de l’accouchement.

Dans ce contexte, l'Agence du médicament (ANSM) rappelle les médicaments disponibles en France disposant d'une AMM :

  • Dans l'IVG : GYMISO 200 µg comprimé et MISOONE 400 µg comprimé ;
  • Dans le déclenchement du travail à terme : PROPESS 10 mg système de diffusion vaginale (dinoprostone), réservé à l'usage hospitalier.

Taxonomy term

Trois médecins sont poursuivis dans une affaire d’avortement clandestin. Il s’agit d’un gynécologue qui travaille au centre hospitalier régional de Rachidia, une anesthésiste et un médecin propriétaire d'un cabinet situé dans le quartier populaire de Yacoub Al Mansour.

Ces trois médecins sont poursuivis pour avortement illégal.

Au Maroc, selon le code pénal, les interruptions volontaires de grossesse (IVG) ne sont autorisées qu'en cas de danger pour la « vie » ou la « santé » de la femme et avec accord du mari, l'avortement est toujours interdit en cas de viol, d'inceste ou de malformation fœtale.

Selon l'Association marocaine de lutte contre l'avortement clandestin (AMLAC), 1.400 avortements seraient pratiqués chaque jour au Maroc. Certains de ces avortements seraient effectués « dans des conditions sanitaires catastrophiques » par des « charlatans » ou des « herboristes » et concerneraient surtout des femmes qui n’ont pas les moyens de s’adresser à un professionnel de santé. Derrière chaque avortement, il y a un drame humain dont les conséquences peuvent être terribles, non seulement pour la personne concernée, mais également, la famille et la société.

Il est vrai que le sujet de l'avortement au Maroc a toujours suscité des débats au sein de la société marocaine en raison d'une loi très répressive, tout particulièrement les articles 449 à 458 du code pénal marocain. Beaucoup d’associations montent au créneau pour dénoncer les avortements clandestins, cause principale de la mortalité maternelle, et lancer des pétitions pour libéraliser l'avortement au Maroc.